CRITIQUE – La chorégraphe américaine propose une pièce montée pour cent élèves du Conservatoire de Paris. Une aventure pleine de précision.
C’est une icône. Avec Merce Cunningham et Trisha Brown, l’un et l’autre disparus, elle appartient à la constellation sacrée de la postmodern dance. Aussi est-elle invitée au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMD). Elle a débuté à la Judson Church à New York. Elle ne marchait pas sur les façades d’immeubles, mais inventait des corps-à-corps avec des objets, téléphone, poêle à frire, grille-pain, entre poésie de l’absurde, cocasserie ingénue, que sa nièce Ruth Childs danse aujourd’hui à son tour en France. «Et puis j’ai rencontré Bob Wilson», dit-elle dans un français presque aussi sucré que celui de Jane Birkin.
Carré de cheveux blancs, regard aigue-marine, Lucinda Childs est taillée pour traverser les années avec une élégance intacte. À 83 ans, elle danse encore parfois. Robert Wilson, complice depuis Einstein on the Beach, en 1976, lui compose des performances. Le reste du temps, elle crée et transmet, principalement en France, aux Ballets de Marseille…
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