Paris, capitale de l’art contemporain : 20 expositions à ne pas manquer ce mois-ci

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Les galeries du monde entier présentent leurs œuvres et leurs artistes à Paris à l’occasion de Paris+ par Art Basel, qui se tient du 20 au 22 octobre prochain. Ainsi, la présence de nombreux collectionneurs dans la capitale explique l’abondance d’évènements off en parallèle de la désormais incontournable foire d’art moderne et contemporain. De l’exposition Gilles Aillaud au 67e Salon de Montrouge, en passant par l’inauguration de la nouvelle galerie de Hauser & Wirth et la nouvelle saison de la Bourse du Commerce, les planètes s’alignent pour l’art contemporain et offrent de réjouissantes expériences. Tour d’horizon des 20 expositions à voir absolument !

 

À lire aussi :

1. In bed with Katharina Grosse

The Bedroom est une œuvre que Katharina Grosse a créée en 2004 dans son appartement de Düsseldorf et où elle a littéralement peint son propre lit et ses propres biens avec une bombe de peinture. Cette pièce majeure dans la carrière de l’artiste, habituée des espaces publics, revient vingt ans plus tard à Paris dans une installation unique. Lire la suite

« Katharina Grosse. The Bedroom »
Galerie Max Hetzler, 75 004 Paris
jusqu’au 21 octobre 2023

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Katharina Grosse, Bedroom, vue de l’installation à la galerie Max Hetzler à Paris © Katharina Grosse und VG Bild-Kunst, Bonn, 2022. Courtesy Galerie Max Hetzler Berlin-Paris-London. Photo: Thomas Lannes

2. Croyez-vous aux fantômes ?

Pour le 24e Prix de la Fondation Ricard, le thème de « Do you Believe in Ghosts » (Croyez-vous aux fantômes) a servi de fil rouge aux six plasticiens sélectionnés, dont le très médiatisé Pol Taburet. L’exposition développe la notion de fantôme comme métaphore et comme concept en empruntant la pensée de Jacques Derrida. En effet, la citation « Do you Believe in Ghosts » provient du film Ghost Dance dans le lequel Jacques Derrida, qui joue son propre rôle, répond longuement à cette interrogation.

« 24e Prix Fondation Pernod Ricard »
Fondation Pernod Ricard 75008 Paris

jusqu’au 28 octobre 2023

Pol Taburet, Sans titre, 2022, acrylique, pigment et pastel gras sur toile, 195 x 110 x 2,5 cm ©Fondation Pernod Ricard

Pol Taburet, Sans titre, 2022, acrylique, pigment et pastel gras sur toile, 195 x 110 x 2,5 cm © Fondation Pernod Ricard

3. La scène contemporaine fait salon

Le Salon de Montrouge en est à sa 67e édition, c’est dire combien cette exposition annuelle lancée en 1965 est devenue un rendez-vous important pour l’art contemporain. De Djamel Tatah à Clément Cogitore, de Marine Wallon à Juliette Green, de très nombreux créateurs y ont exposé et y ont été révélés. Pour la deuxième année, une quarantaine d’artistes sont présentés au rez-de-chaussée du Beffroi par Work Method (Guillaume Désanges et Coline Davenne). Lire la suite 

67e Salon de Montrouge
Le Beffroi, 92120 Montrouge
jusqu’au 29 octobre 2023

Jadiscan 3003-X Pro (2022) de Vincent Burger, présenté au 67e Salon de Montrouge, Le Beffroi, Montrouge, 2023 © Guy Boyer

Jadiscan 3003-X Pro (2022) de Vincent Burger, présenté au 67e Salon de Montrouge, Le Beffroi, Montrouge, 2023 © Guy Boyer

4. Trompe-l’oeil engagé

Lise Stoufflet, diplômée des Beaux-Arts de Paris, s’approprie La Samaritaine à l’occasion de l’évènement  « Paris Trompe-l’œil ». Sur les murs bruts du bâtiment Rivoli, Stoufflet dévoile une grande fresque marouflée tapie de dizaines d’yeux surdimensionnés brandis comme des pancartes. La jeune artiste française invoque à la fois l’héritage symboliste et les préoccupations contemporaines relatives à la société de surveillance.

« Lise Stoufflet »
Factory de La Samaritaine 75 001 Paris
  jusqu’au 30 octobre 2023

Lise Stoufflet, Le Regard surréaliste, 2023, installation « Samaritaine Paris Trompe-l’œil » © Samaritaine, Paris.

Lise Stoufflet, Le Regard surréaliste, 2023, installation « Samaritaine Paris Trompe-l’œil » © Samaritaine, Paris.

5.Nouveaux talents et béton brut

Pour sa dixième édition, le Prix Révélations Emerige 2023 présente ses douze lauréats au 190, rue Lecourbe dans le XVe arrondissement du 5 octobre au 5 novembre, à l’Hôtel des Arts de Toulon en décembre-janvier, puis à l’Institut français à Madrid en avril-mai 2024. Dans les vastes espaces de béton brut, complétés par deux salles indépendantes réservées aux œuvres à connotations érotiques, les œuvres s’entremêlent ou s’entrechoquent. Lire la suite

« Prix Révélations Emerige 2023 »
190, Rue Lecourbe, 75015 Paris
jusqu’au 5 novembre 2023

Dans le même bateau (2021) d’Emilie Caie, présenté dans l’exposition « Hit again », Prix Révélations Emerige 2023, 190 Lecourbe, 2023 © Guy Boyer

Dans le même bateau (2021) d’Emilie Caie, présenté dans l’exposition « Hit again », Prix Révélations Emerige 2023, 190 Lecourbe, 2023 © Guy Boyer

6. Jouer avec l’architecture à Saint-Eustache

Plus récent, le prix Rubis Mécénat soutient depuis trois ans un étudiant des Beaux-Arts de Paris. Cette fois, l’heureux élu présenté à l’église Saint-Eustache est Marc Lohner, pour son installation Achéiropoïètes (terme grec signifiant « non fait par la main de l’homme »), qui s’inspire de l’architecture de l’église. Le lauréat a photographié systématiquement toutes les faces des blocs octogonaux de calcaire qui servent de bases aux 82 piliers intérieurs de l’église, ainsi que d’autres parties moins accessibles au regard. Il en a ensuite imprimé les images les plus caractéristiques sur cinq lés de tissu de lin translucide qu’il a suspendu entre certains piliers et sur près de douze mètres de hauteur.

« Marc Lohner. Acheiropoïètes »
Église Saint-Eustache, 75 001 Paris
jusqu’au 17 décembre 2023

Marc Lohner, Acheiropoïètes, Beaux-Arts de Paris © Rubis Mécénat, église Saint-Eustache, 2023 © Instant Prod

Marc Lohner, Acheiropoïètes, Beaux-Arts de Paris © Rubis Mécénat, église Saint-Eustache, 2023 © Instant Prod

7. Prix Marcel Duchamp, cuvée 2023

Ils sont restés quatre en lice pour remporter le prix Marcel Duchamp 23e édition, prix créé en 2000 par Gilles Fuchs, fondateur de l’Adiaf (Association pour la diffusion internationale de l’art français). Le lauréat, choisi le 16 octobre parmi les quatre artistes Bertille Bak, Bouchra Khalili, Tarik Kiswanson et Massinissa Selmani, recevra 90 000 € dont 35 000 € pour effectuer une résidence à la Villa Albertine aux États-Unis. Ce prix prestigieux, révélateur de l’art contemporain français, bénéficie toujours d’une exposition des travaux de chacun qui se tient chaque année au Centre Pompidou.

« Prix Marcel Duchamp 2023 »
Centre Pompidou, 75 004 Paris
jusqu’au 8 janvier 2024

Bouchra Khalili, The Tempest Society, vidéo ©Bouchra Khalili,

Bouchra Khalili, The Tempest Society, vidéo ©Bouchra Khalili

8. Le dédale de Kehinde Wiley

Devenu célèbre grâce au portrait officiel de Barack Obama, qu’il a réalisé en 2018, Kehinde Wiley est connu pour ses tableaux hyperréalistes magnifiant des communautés marginalisées. Il dévoile, au musée du quai Branly-Jacques Chirac, à Paris, une série de onze portraits de chefs d’État africains. Lire la suite

« Kehinde Wiley. Dédale du pouvoir »
Musée du quai Branly-Jacques-Chirac, 75 007 Paris
jusqu’au 14 janvier 2024

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Kehinde Wiley, portrait de Macky Sall, président du Sénégal, musée du quai Branly © Tanguy Beurdeley © Musée du Quai Branly

9. Fantastique Loris Gréaud au Petit Palais

Et le Petit Palais s’ouvre à nouveau à l’art contemporain en plongeant ses visiteurs dans l’univers fantastique des « Nuits Corticales » de Loris Gréaud.

« Loris Gréaud : Les nuits corticales »
Petit Palais 75 008 Paris

jusqu’au 14 janvier 2024

Loris Gréaud, Realism Noir, affiche présentant l’exposition « Les Nuits Corticales », Petit Palais © Loris Gréaud © Paris Musées

Loris Gréaud, Realism Noir, affiche présentant l’exposition « Les Nuits Corticales », Petit Palais © Loris Gréaud © Paris Musées

10. La puissance narrative de Dana Schutz

C’est la première grande exposition en France de cette peintre américaine de grande renommée. Dana Schutz, née en 1976 et travaillant à New York, a beaucoup fait parler d’elle à la Biennale du Whitney Museum en exposant Open Basket, un tableau où elle s’inspire d’une photo du cadavre au visage défiguré d’Emmett Till, adolescent noir torturé et tué en 1955 par les suprémacistes blancs du Mississippi. Une peinture qui bouscule en nous jetant à la figure à quel point notre monde est malade, bouffi de vanité.

« Dana Schutz, Le monde visible »
musée d’Art moderne de Paris, 75 116 Paris
jusqu’au 11 février 2024

Dana Schutz, Mountain Group, 2018, huile sur toile, 305 x 396 cm ©Dana Schutz

Dana Schutz, Mountain Group, 2018, huile sur toile, 305 x 396 cm ©Dana Schutz

11. Une fenêtre sur l’Asie

Dans le cadre d’une saison consacrée à l’Asie, le Musée national de l’histoire de l’immigration propose deux expositions. La première est consacrée aux artistes chinois venus s’installer en France au tournant des années 1980-1990. La seconde s’intéresse aux mouvements migratoires asiatiques (Chine, Japon, Corée, Cambodge, Laos, Thaïlande, Philippines, Malaisie…) vers notre pays de 1860 à nos jours, étudiés à la lumière des grands bouleversements sociaux, politiques et culturels du monde contemporain.

« J’ai une famille » et « Migrations asiatiques en France »
Palais de la Porte dorée, 75 012 Paris
jusqu’au 11 février 2024

Huang Yong Ping, Chevalier du XXIe siècle empaillé, 2019. Photo. Archives Huang Yong Ping et Mennour, Paris. © Huang Yong Ping © ADAGP, Paris, 2023

Huang Yong Ping, Chevalier du XXIe siècle empaillé, 2019. Photo. Archives Huang Yong Ping et Mennour, Paris. © Huang Yong Ping © ADAGP, Paris, 2023

12. L’Amérique de Mike Kelley

Figure majeure de la scène californienne des années 1980-2000, Mike Kelley (1954-2012) a fait de la société américaine et de ses déviances le fondement de sa démarche. Réalisée avec la Tate Modern de Londres, cette exposition présentée dans la rotonde et au premier étage réunit l’essentiel de l’œuvre pop et trash de cet artiste pluridisciplinaire (dessin, peinture, musique, sculpture, installation, vidéo). Avec en point d’orgue ses spectaculaires Kandor Cities, des villes du futur présentées sous cloches de verre.

« Mike Kelley. Ghost and Spirit »
Bourse de Commerce-Pinault Collection, 75 001 Paris
du 13 octobre au 19 février 2024

Mike Kelley, Kandors Full Set (détail), 2005-2009

Mike Kelley, Kandors Full Set (détail), 2005-2009

13. Hauser & Wirth arrive à Paris

La puissante galerie suisse Hauser & Wirth fait une arrivée remarquée à Paris, dans un fastueux hôtel particulier de la rue François Ier, à deux pas des enseignes de luxe de l’avenue Montaigne. L’exposition inaugurale rassemble une vingtaine d’œuvres importantes de l’artiste américain Henry Taylor (né en 1958) montrant l’étendue de sa pratique, de la peinture à la sculpture en passant par l’installation.

« Henry Taylor, From Sugar To Shit »
Galerie Hauser & Wirth, 75 008 Paris
du 14 octobre au 7 janvier 2024

Henry Taylor, Untitled, 2023, Acrylique sur toile, 213 x 243 cm © Henry Taylor © Hauser & Wirth © Keith Lubow

Henry Taylor, Untitled, 2023, Acrylique sur toile, 213 x 243 cm © Henry Taylor © Hauser & Wirth © Keith Lubow

14. Chéri Samba, populaire et engagé

Figure de la peinture congolaise, Chéri Samba (né en 1956) a commencé sa carrière en peignant des enseignes publicitaires à Kinshasa. Construite par thèmes (l’autoportrait, le Congo et l’Afrique, la géopolitique et l’environnement, les femmes…), l’exposition retrace quarante ans de carrière en une cinquantaine de tableaux issus de la collection Jean Pigozzi, la plus importante au monde en matière d’art contemporain africain. Il s’agit de la deuxième grande exposition dédiée au peintre à Paris après celle de la Fondation Cartier en 2004.

« Chéri Samba dans la collection Pigozzi »
Musée Maillol, 75 007  Paris
du 17 octobre au 22 avril 2024

Chéri Samba, J'aime la couleur, 2003, acrylique et paillettes sur toile, 206 x 296 cm

Chéri Samba, J’aime la couleur, 2003, acrylique et paillettes sur toile, 206 x 296 cm

15. Antony Gormley face à Rodin

Le titre de l’exposition est celui d’une des installations les plus emblématiques du sculpteur Antony Gormley (né à Londres en 1950). Composée d’une soixantaine de corps moulés disposés au sol, suspendus ou en lévitation, Critical Mass (1995) constitue le cœur du parcours conçu comme un véritable dialogue entre l’artiste britannique et l’auteur de la Porte de l’Enfer. Gormley investit non seulement la salle d’expositions temporaires, mais aussi les collections permanentes, la galerie des marbres, le cabinet d’arts graphiques et le jardin.

« Antony Gormley. Critical Mass »
Musée Rodin, Paris 75 007
du 17 octobre au 3 mars 2024

Antony Gormley, Critical Mass © agence photographique du musée Rodin © Jérome Manoukian

Antony Gormley, Critical Mass © agence photographique du musée Rodin © Jérome Manoukian

16. Les Fleurs du Mal

La maison Guerlain s’intéresse pour sa part aux Fleurs du Mal, en hommage à Charles Baudelaire, avec vingt-six artistes internationaux, dont le poétique Jiang Zhi ou la talentueuse Lise Stoufflet, qui est également en solo show à la Factory de La Samaritaine.

« Les Fleurs du mal »
Maison Guerlain, 75 008 Paris
du 18 octobre au 13 novembre 2023

Jiang Zhi, Love Letters n° 22, 2014, impression jet d’encre, 106 x 80 cm « Les Fleurs du mal », Maison Guerlain  © Paris-b.

Jiang Zhi, Love Letters n° 22, 2014, impression jet d’encre, 106 x 80 cm « Les Fleurs du mal », Maison Guerlain  © Paris-b.

17. Raphaël Barontini au cœur de l’Histoire

À l’occasion de la programmation « Un artiste, un monument », le Centre des Monuments nationaux laisse carte blanche, au Panthéon, au plasticien Raphaël Barontini. Il célèbre la mémoire des combats contre l’esclavage, dans ce monument où sont honorées plusieurs personnalités ayant œuvré en faveur de son abolition, comme Toussaint-Louverture ou Victor Schoelcher. L’artiste né en 1984 livre un pan de son univers, nourri de créolité, de références à l’histoire et à l’histoire de l’art, et d’un goût pour le monumental.

« Carte Blanche À Raphaël Barontini »
place du Panthéon, 75 015 Paris
du 19 octobre 2023 au 11 février 2024

Vue de l’exposition « Dithyrambe au centurion », La Halle, Pont-en-Royans (FR), 2022 © Blaise Adilon Courtesy the artist and Mariane Ibrahim Gallery, Chicago, Paris, Mexico City

Vue de l’exposition « Dithyrambe au centurion », La Halle, Pont-en-Royans (FR), 2022 © Blaise Adilon Courtesy the artist and Mariane Ibrahim Gallery, Chicago, Paris, Mexico City

18. L’art contemporain en France, toute une histoire

Si vous êtes de ceux qui se sont toujours posé la question de la frontière entre l’art moderne et l’art contemporain, cette exposition est pour vous. Le MAC VAL ( musée d’Art contemporain du Val-de-Marne), consacré à la scène artistique en France depuis 1950, ressort de ses collections des œuvres qui n’avaient pas été montrées depuis l’ouverture en 2005. Lire la suite

« “L’œil vérité” Le musée au second degré »
MAC VAL, 94 400 Vitry,
jusqu’au 22 septembre 2024

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19. Les fables du monde sauvage de Gilles Aillaud

On attendait avec impatience une rétrospective dédiée au peintre Gilles Aillaud (1928-2005) depuis des mois, que dis-je depuis des années. Et puis finalement, le goût évoluant vers la figuration, le Centre Pompidou a programmé cette rétrospective tant attendue. Sous la direction de Didier Ottinger, ce choix de tableaux centré sur les animaux dans les zoos révèle un artiste qui s’interroge sur la solitude des hommes dans nos sociétés contemporaines et celle qu’ils imposent aux autres. Lire la suite

« Gilles Aillaud. Animal politique »,
Centre Pompidou, 75 004 Paris
jusqu’au 26 février 2024

Cage aux lions (1967) de Gilles Aillaud, présenté dans l’exposition « Gilles Aillaud. Animal politique », Centre Pompidou, Paris, 2023 © Guy Boyer

Cage aux lions (1967) de Gilles Aillaud, présenté dans l’exposition « Gilles Aillaud. Animal politique », Centre Pompidou, Paris, 2023 © Guy Boyer

20. Hermann Nitsch versus Monet

Figure de l’Actionnisme viennois dont il fut l’un des fondateurs, Hermann Nitsch (1938-2022) était fasciné par les Nymphéas de Monet. Invité au musée de l’Orangerie, il avait conçu lui-même ce dialogue entre son œuvre et le chef-d’œuvre de Monet. L’exposition qui s’ouvre à titre posthume se veut un hommage à l’artiste autrichien dont l’œuvre puissamment expressive incluait la pratique de la peinture dans ses performances.

« Hermann Nitsch. Hommages »
musée de l’Orangerie,  75 001 Paris
du 11 octobre au 29 janvier 2024

Hermann Nitsch (1938 – 2022), sans titre, 2020, acrylique sur toile, 200 x 300 cm, Galerie RX, Paris © Hermann Nitsch, ADAGP, 2023, Paris

Hermann Nitsch (1938 – 2022), sans titre, 2020, acrylique sur toile, 200 x 300 cm, Galerie RX, Paris © Hermann Nitsch, ADAGP, 2023, Paris

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